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Les grandes distances médicales : souffrance ou nécessité ?
Dunkerque–Paris : 296 kilomètres. Trois heures de route dans le meilleur des cas. Pour Marc, 58 ans, atteint d’un cancer rare, ce parcours est devenu son couloir régulier. Chaque semaine, taxi VSL à l’aube, retour dans la soirée. Il dit que le traitement est supportable, mais le trajet, lui, le brise.